Presse

"Mon Goupil", par B. Revel

La dépêche

" Agenda en libertés "... cinquante-deux textes illustrés par Guy Perottet, que Simone Salgas s'est contrainte à écrire en cent mots, comme pour fixer un cadre dans laquelle s'organiserait la liberté. Imprévisible, Simone Salgas fournit une explication beaucoup plus prosaïque à ce carcan d'écriture :
" Le Nouvel Observateur avait organisé un concours intitulé 100 mots pour la liberté, avec un voyage au Japon comme premier prix." Simone obtient les troisième, cinquième et septième prix. Dans son "Agenda", comme à son habitude, on lit entre les lignes le plaisir et la volupté qui sont ses quêtes de toujours. On croise Guernica, Sergy le chien afghan insoumis, on se déboussole avec ces points cardinaux qui veulent changer de place...
Elle cite Ferré : " Le bonheur est un hold-up permanent, si tu ne le prends pas personne ne te le donne. " Simone Salgas traque ainsi la liberté, " une maladie, chez moi ".
Peut-être pour exorciser ses premières années de carrière sous Franco. Peut-être simplement pour jouir du bonheur de chaque seconde, comme d'une parcelle d'éternité.

L'Express - 11 mai 2006

"Entre l'Aude et l'écrivaine, la romance est ancienne. Cette terre du Languedoc, «rude, âpre, méconnue», sent le caillou, le soleil, le sable et le vent.
«Chaque fois que j'y reviens, j'éprouve le même plaisir physique et violent, susurre-t-elle en se reservant un verre de blanc sec.
J'aime cette lumière, la couleur des pierres et les odeurs, en résonance avec les lignes.»
«Dans l'Antiquité, les Grecs venaient ici en résidence secondaire, c'est vous dire s'il y fait bon vivre!» s'amuse Simone Salgas entre deux pins d'Alep - l'écrivain narbonnaise cherche les premières asperges sauvages de la saison."

Elle
Le goupil : « Tournez les pages chaudes de ce roman. Simone Salgas, un auteur à suivre »
Les nouvelles littéraires
Le goupil : « Roman de roc et de soleil, écrit au rythme du cœur. Simone Salgas est à coup sûr ce qu’il est convenu d’appeler une plume. Quel talent ! » 

Paris match
La toupie :« Longue confidence à voix basse qui confirme un tempérament d’écrivain. » 

Le soir de Bruxelles
La toupie « Magnifique livre, le meilleur de la saison, beau d’un bout à l’autre. »  

L'Express
« Après Le Goupil paraissent La Toupie « problème de la vieillesse écrit avec des images belles comme certains tableaux de van Gogh. »   

La nouvelle revue de Lausanne
L’Heure bleue : « livre sensible, sensoriel, sensuel, écrit dans un style très dépouillé, il y a tant de tendresse contenue qu’elle en devient cruelle. »  

Europe
Lilou, chez Pocket Junior : « Court roman, dense et magistralement mené. La grande sensibilité de Simone Salgas aux atmosphères, sa belle sensualité, son amour du langage font merveille. »  

Le courrier de Lyon
La laminaire : « justesse des mots, efficacité pesée de chaque phrase, toujours cet attachement sensuel à la vie, mâtiné d!une sorte de désespoir calme qui pointe derrière les grands yeux et le sourire chaleureux de Simone Salgas. »  

Les vendanges littéraires
L’Hortensia : « Simone Salgas écrit comme on peint : « Soudain, le mauve de ses yeux se sournoise bizarrement en gris ». Simone Salgas écrit comme on touche : « Lʼamour, petit, cʼest manger la salive de lʼautre… ». Simone Salgas écrit comme on hume : « Est-ce que ça sent comme le dessous des bras de ma mère ? »   

Bartolomé Bennassar, université de Toulouse
La maison sur la colline : « Son roman le plus abouti. Une fois encore, Simone Salgas donne à son lecteur sa part de grain à moudre, lui propose, dans l’effleurement d’une écriture diaphane, des espaces de liberté et de rêverie. »   

Sud Ouest
Elle regarde : « Bien sûr, Verlaine. “Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre”. Une formule qui touche juste : les Serena de Simone Salgas se ressemblent toutes et toutes sont différentes. Pas de strabisme : les textes sont droits, ciselés ; l’ écriture va à l’essentiel, sensuelle. Efficace. Les mots qu’il faut, qui déchirent et qui réjouissent. Sans afféterie. Ils ne sont pas là pour faire bien ! Parfois ils font du bien. »   

France culture
Et toujours, il y a ses poèmes : Folles saisons, Atalaya del sol…« poésie ouverte, riche comme le sang et présente comme le soleil »   

La dépêche
« Tous les romans de Simone Salgas ont de la gueule : une gueule d’atmosphère. L’univers Salgassien tient surtout à son style fait de phrases brèves, de sentiments longs… Partout la fêlure des personnages donne lieu à une étude fine et sensible de l’âme humaine, servie par une poésie à fleur de coeur et de lignes »